Les bruits qui nous entourent ont des réels impacts sur la qualité de notre sommeil. Les troubles du sommeil sont un véritable fléau qui touche près d’un Français sur trois avec des conséquences qui peuvent être graves sur notre santé. C’est pourquoi la technologie IEVA, au-delà d’améliorer notre routine beauté, permet de mesurer la qualité environnementale de nos intérieurs et de préciser ses effets sur la qualité du sommeil, par la mesure notamment du bruit ambiant dans la chambre à coucher. Mais IEVA mesure aussi la température et l’humidité, la luminosité et encore la pollution intérieure (taux de CO2 et de COV). Ceci dans le but d’atteindre un confort optimal pour un meilleur sommeil.
IEVA collabore avec le laboratoire HP2, une unité mixte de recherche Inserm de l’Université de Grenoble Alpes, en vue de mieux comprendre les dysfonctionnements du sommeil. Le laboratoire s’intéresse aux aspects moléculaires des conséquences cardiovasculaires du syndrome d’apnées du sommeil, mais également à l’impact chez les patients et dans la société en général des troubles du sommeil.
« Le concept de IEVA et ses technologies innovantes permettront de mieux caractériser l’écosystème des individus dans leur vie quotidienne et donc de mieux comprendre l’impact sur le sommeil de leur mode de vie et des expositions environnementales. Nous développons un partenariat avec IEVA pour faciliter la prévention et l’amélioration du sommeil au quotidien (…) », déclare le professeur Jean-Louis Pépin, directeur du laboratoire HP2 (source : https://life.univ-grenoble-alpes.fr).
Le bruit a une action réelle sur le sommeil :
- La durée d’endormissement allongée par des bruits intermittents ayant une intensité significative en nombre de décibels. Ce sont typiquement les bruits de la rue quand on dort les fenêtres ouvertes ou le bruit de la télévision présente dans une pièce voisine avec des cloisons trop fines.
- Un réveil par des bruits ambiants dans les premières heures de la matinée comme le passage des poubelles ou l’augmentation du trafic automobile.
Le sommeil peut être perturbé par des bruits faibles sans réveil mais avec des perturbations en particulier cardiovasculaires, comme une augmentation de la fréquence cardiaque, montrant que l’organisme considère ces bruits comme une agression et réagit.
Pendant la nuit, le cerveau continue à percevoir les signaux de l’environnement, à traiter et analyser les différentes informations. Il fait donc un travail qu’il ne devrait pas faire, ce qui perturbe le sommeil et ses propriétés restauratrices.